« Majin and The Forsaken Kingdom » par Namco Bandaï Games

17 12 2010

Cette semaine, je vous propose un jeu dont vous n’avez peut-être pas beaucoup entendu parler. Il s’agit de « Majin and the Forsaken Kingdom ». Ce jeu est dans la lignée d’ « ICO » ou bien de « Shadow of The Colossus ». On vit ici une aventure à travers un personnage héros malgré lui. Tepeu (à prononcer te-pé-ou) est un voleur qui a un don des plus particuliers: il parle aux animaux. Il est l’un des seuls humains survivant d’une grande catastrophe. Il vit dans un monde désolé où tout est envahi par les Ténèbres et d’étranges guerriers recouverts d’une espèce de goudron en sont les sinistres émissaires. C’est grâce au bouche à oreille des animaux que vous serrez conduits jusqu’à un château où se trouverait une créature légendaire,

Majin and the Forsaken Kingdom

le « Majin ». Après une petite séquence d’infiltration, on découvre le bonhomme, une sorte de monstre gentil qui a tout le temps faim et qui souffre d’amnésie. Evidemment, ce dernier a perdu la plupart de ses pouvoirs et il falloir les retrouver. Ces pouvoirs, qui sont liés aux éléments de la nature (vent, flamme, foudre…), se récupèrent via des énormes fruits disséminés un peu partout dans l’univers. Votre compagnon, qui s’appel Teotl, vous aidera vaincre les Ténèbres grâce à sa force et ses pouvoirs végétariens (les fruits). Petit à petit, Teotl recouvrira la mémoire, vous aidant ainsi à découvrir ce qu’il s’est passé dans le royaume. Le fait est que l’on va vite devenir dépendant de son gardien, car tout seul, on n’est franchement pas fort, et que Teotl est le seul à pouvoir détruire définitivement les ennemis.

Question jouabilité, le jeu est plutôt agréable, il n’est pas trop dur de diriger votre compagnon qui est géré le reste du temps par l’IA ; évidemment, il y a toujours quelques ratés, par exemple, il ne va pas là où vous voulez qu’il aille, ou encore il ne combat pas le bon ennemi. Toutefois, après un temps d’adaptation et une maîtrise des différents pouvoirs du Majin, on arrive à se sortir de la plus part des échauffourées. Le jeu étant de type Action/Aventure, on enchainera les phases de combats et les phases de réflexions puisque comme Teotl est un peu grand, il ne peut pas, contrairement à vous, se faufiler un peu partout. Les animaux vous parleront tout au long de l’aventure avec des voix humaines (ça fait toujours bizarre d’entendre un perroquet avec une voix grave à Barry White) pour vous donner des indices ou vous parler de l’univers.

Teotl

Tepeu donne un fruit à son copain en bois 🙂

Vous aurez remarqué que les noms des héros sont à consonance précolombienne, ce n’est pas un hasard. L’univers s’inspire en effet de l’architecture précolombienne, mais aussi d’armures de conquistadors, une ambiance que l’on ne voit rarement dans les jeux en général et qui aide celui-ci à sortir du lot. Enfin, évidement, on voit bien que le jeu possède un message écologique, les Ténèbres ont un aspect de pétrole/goudron et votre compagnon fait plutôt esprit de la forêt que gros mecha en armure et il ne mange que des produits bio (même s’ils sont un peu bizarres). En somme, « Majin and the Forsaken Kingdom » serait le fruit de l’union entre « Zelda » et « Ico ».

C’est un jeu vidéo qui vous assurera au moins les 10 heures syndicales pour ceux qui veulent finir le jeu le plus vite possible, mais il peut être bien plus long si jamais vous souhaitez collectionner toutes les bribes de mémoires (qui vous donnent un costume super classe) et les coffres cachés un peu partout dans l’univers. Je conseille vivement ce jeu qui a été produit par Yoshiki Okamoto (connu pour son travail sur les séries Resident Evil ainsi que Street Fighter entre autres…) La magie du duo opère malgré le fait que vous ne contrôliez vous-même qu’un seul personnage à plein temps.

fight

Petit plus pour les possesseurs de PS3, un petit add-on est disponible gratuitement avec un code (pour moi, il était disponible dans la boîte). Je ne l’ai pas encore essayé mais c’est toujours agréable d’avoir un petit quelque chose en plus que la version console de Billou.





« Civilization V » de 2k Games

11 11 2010

Je me suis dit qu’il était temps de changer un peu des critiques de bandes dessinées, c’est pour quoi cette semaine je vous propose la critique du jeu « Civilization V », le petit dernier de la série qui est sorti il y a peu. Je dois dire que mon expérience précédente avec la série ne datait pas d’hier, puisque j’avais joué à « Alpha Centauri » qui se joue sur le même principe de Civilization mais se déroule à partir de l’année 2100 sur une planète du système solaire d’Alpha Centaure (le système solaire le plus proche du notre, et c’est déjà pas la porte à côté). Mais sans plus attendre…

Civilization V

Civilization V le petit dernier du studio de développement Firaxis

Civilization V est un jeu de stratégie au tour par tour ou l’on doit faire évoluer une civilisation jusqu’à son apogée.  Pour ce faire, vous incarnerez un dirigeant illustre de l’histoire de l’humanité (Napoléon, Catherine de Russie, Soliman le Magnifique…) parmi les 18 proposés. Évidemment, pour arriver à vos fins, plusieurs options vous sont proposées :

  • Victoire militaire (attrapez les tous!!! attrapez les tous!!!)
  • Victoire diplomatique (obtenir la gouvernance de l’ONU)
  • Victoire culturelle (réussir à débloquer le plus de doctrines possible et ainsi pouvoir mener à terme le projet utopia, tout un programme)
  • Victoire scientifique « course à l’espace » ( c’est moi le premier, d’abord!)
  • Victoire Temps ( gagné par celui possédant le plus de points de victoires à la fin du nombre de tours choisis, option utilisée surtout en multijoueur)
bismark

Le représentant de la civilisation teutonique, ce bon vieux Otto Von Bismarck.

Pour une fois on est plutôt content de voir que , que dans un jeu ce n’est pas toujours la solution bourrine qui peut vous faire gagner. On aura donc plaisir à essayer de remplir les différentes types de victoires et trouver les meilleurs stratégies pour y arriver. Les vieux de la vieille ne seront pas dépaysés puisque la plupart des victoires proposées ici étaient déjà présentes dans les anciennes versions. On peut dire que c’est le côté culturel qui a eu plus de modifications puisque désormais on choisit des doctrines qui aident à faire évoluer sa civilisation avec de nombreux bonus (production plus rapide, frais de gestion des bâtiments moins onéreux),  les religions sont en quelque sorte toujours là mais elles ne jouent plus un rôle majeur comme précédemment. Quand au projet « Utopia », celui si était déjà la dans Alpha Centauri sous l’appellation « Ascension à la transcendance » et devient accessible à partir d’un certain nombre de doctrines débloquées.

Mais continuons sur notre lancée et parlons des modifications de cette version. La première que vous verrez dès votre premier tour est que l’on a plus un quadrillage en damier pour séparer le terrain mais des hexagones. Ce n’est pas pour donner un avantage à notre beau pays hexagonal que cela a été fait mais pour permettre de faciliter l’autre grosse nouveauté, le placement d’unités. Pourquoi me direz-vous? Et bien parce que le bon vieux temps de la stratégie de l’empilage d’unités sur une seule case est finie. Désormais vous ne pouvez terminer le déplacement d’une unité sur une case que si celle si est libre (exception faite des unités d’ouvriers et des unités militaires qui peuvent se trouver sur la même case, ce qui vous permet de défendre vos ouvriers des méchants barbares… ou les forcer à travailler plus, en leur braquant un fusil sur eux. Non je déconne  ^^). Le but était de rendre les sièges de villes plus crédibles et d’après moi, c’est plutôt réussi même si on peste un peu sur nos unités parce que l’on doit vraiment bien programmer leurs mouvements pour qu’elles ne se télescopent pas.

les débuts

La fondation de votre première ville entouré par le « brouillard de guerre »

Enfin, dernière nouveauté, l’arrivée des cités états, des gouvernements qui ne sont pas dans la compétition pour la victoire mais qui pourront vous aider si vous répondez à leur attente ou si vous leur faites des dons désintéressés en pièces sonnantes et trébuchantes. Ces cités-états, en contrepartie vous donneront des unités en cadeau, des ressources naturelles qui vous aideront dans votre commerce ou pour financer votre effort de guerre, ou enfin augmenteront votre bonus culturel pour obtenir plus vite des doctrines. Je  trouve que cette nouveauté ajoute un petit plus au jeu permet de renouveler l’expérience.

En vrac, on citera deux petits trucs qui sont bien sympa : les artistes illustres qui vous permettent d’élargir vos frontières culturelles; et la possibilité de faire des villes fantoches lors de l’acquisition par la force d’une nouvelle ville, cela vous permettra d’éviter leur mécontentement mais en contre partie vous ne contrôlerez pas les options de construction de la ville . La gestion des citoyens pour spécialiser votre ville dans la production, entre autre.

touché coulé

Touché…coulé.

On est face à un  jeu, qui est vraiment joli. Il y a évidemment toujours quelques points noirs: les unités qui ne font rien alors que vous leur avez demandé de bouger ou de construire quelque chose par exemple, mais on peut dire que ce nouveau Civ est une franche réussite. L’utilisation de la plateforme Steam laisse supposer que l’on aura certainement de nouveaux contenus gratuits comme cela se fait pour les autres jeux de la plateforme. Un scénario a déjà été proposé en téléchargement gratuit pour vivre l’expansion du grand Empire Mongol avec le Grand Khan.  Pour continuer sur Steam, il est possible de débloquer des trophées en réussissant certains types d’actions (victoire d’un certain type, réussir à vaincre tous ses ennemis avant 350 avant notre ère avec Alexandre le Grand, se faire coiffer au poteau pour la construction d’une merveille). Ce petit gadget gratifie donc les joueurs qui sont un peu curieux et qui essayent un peu tout les modes de jeu ainsi que les différentes options proposées par le jeu. Et puis bon, ça fait toujours plaisir de découvrir qu’on a gagné un truc sans le faire exprès.

Cela faisait un petit moment que je n’avais pas craqué pour un jeu PC, mais je pense que là j’ai bien fait. Je suis donc très satisfait de mon achat vidéo-ludique et le recommande à tous les joueurs friands de ce type de jeu.





Scott Pilgrim, le comics (et le film).

8 09 2010

Scott Pilgrim, un comics canadien datant de 2005, adapté en France par l’éditeur Milady suite à la sortie prochaine et sans cesse repoussée du film éponyme (enfin presque « Scott Pilgrim vs. the World » est le titre du deuxième tome) qui devrait sortir en France au 1er Décembre 2010.

Scott Pilgrim vs. the World

La couverture du deuxième album ou l’on peut voir le personnage de Ramona Flowers

Je me suis intéressé à cette bande dessinée après avoir vu la bande annonce du film qui, il faut le dire, donnait franchement envie. Une petite recherche sur la bande son du film m’a permis de constater qu’en plus, bon nombre de groupes canadiens ont participés à la B.O. . On retrouvera ainsi des groupes tel que Broken Social Scene (des anciens membres de Godspeed you! back Emperor) et de Metric (qui a apparemment composé une chanson originale pour l’occasion.). La bande annonce montrait des incrustations d’onomatopées comme on avait pu le voir dans le film et la série Batman des années 1960, mais en bien mieux fait je vous rassure.

Dans ce film on trouvera Micheal Cera, un habitué des rôles d’ados puisqu’il était déjà dans « JUNO », mais aussi Mary Elizabeth Winstead que l’on pouvait voir dans « Boulevard de la Mort » (mais si, elle jouait la pompom girl gentille mais pas très futée de la seconde partie du film. Enfin je vous rassure j’ai du cherché pour me rendre compte que c’était bien elle.) qui m’a l’air plutôt bien trouvé pour le rôle.

Pour ce qui est du réalisateur, Edgar Wright a à son actif entre autre le film de zombie « Shaun of the Dead ». On peut donc compter sur lui pour garder l’humour grinçant du comics et ne pas trop dénaturer le média original, enfin tout du moins on l’espère.

Un petit extrait avec la super chanson de Metric que j’écoute en boucle.

Mais revenons à nos moutons, le comics donc, qui est plutôt sympathique. Un petit pitch tout de suite:

« Scott vit à Toronto ou il végète depuis sa séparation avec son ex un an auparavant. Ses journées sont ponctués par des grasses matinées, les jeux vidéos et de temps à autre une répète avec son groupe les « Sex Bob-omb » ou il joue de la basse. Afin de Scott décide de sortir avec une lycéenne, Chau Knives, (qui comme son nom le laisse supposer, est asiatique.) ce qui ne manquera pas d’attirer les railleries de son entourage car il a 23 ans. Tout se passe bien jusqu’au jour ou Scott voit une fille à la bibliothèque qui avait vu la veille dans son rêve. C’est  le coup de foudre immédiat. Toutefois ce qu’il ne sait pas encore c’est qu’avant de pouvoir sortir avec la gente dame, il va falloir battre ses sept ex maléfiques… »

Vous vous imaginez bien qu’à partir de cet instant ça commence à devenir un peu surréaliste sur les bords, mais moi personnellement j’ai adoré. Sans trop spoiler on peut dire que l’auteur, Bryan Lee O’Malley, doit aimer les jeux vidéos old school et ça se ressent dans le comics. Ainsi on aura pas mal de passages ou l’on ne voit plus vraiment la frontière entre le jeu vidéo et la réalité. Pour ce qui est du comics en lui même, en noir et blanc dans une édition poche, il ressemble plus à un manga du point de vu papier et format et heureusement cela se répercute aussi sur le prix du livre (6,99€). Les dessins ont un style bien particuliers qui rappel un peu ce qu’on pourrait voir dans une série comme « Daria » qui passait sur MTV, un style assez épuré avec des traits de crayon (ou de tablette graphique certainement) bien marqués. On notera une influence manga, en particulier l’utilisation d’imprimés pour faire les motifs des vêtements  ou des ombrages. Le dessin sobre n’empêche pas toutefois de reconnaître les personnages grâce à des signes distinctifs, les coupes de cheveux en général. C’est malheureusement quelque fois lorqu’on passe à un flashback que l’on ne sait plus trop qui est qui puisque les fameux signes distinctifs peuvent changer (on comprend mieux pourquoi dans les mangas les personnages principaux ont généralement une coupe de cheveux à vie, ce qui permet de les repérer direct.).

Ramona massue

Ramona Flowers dans le comics et son costume dans le film.

L’auteur fait référence à pleins de lieux existant dans Toronto, (même si certains ont fermés depuis) ainsi toutes les salles de concert, les lieux publiques et les boutiques existent réellement (le wiki anglais du comics en fait le référencement). Il en est de même pour l’histoire du comics qui, si apparemment elle n’est pas une auto-biographie, sent tout de même le vécu. On flotte entre l’adolescence et l’age adulte (ou l’adulescence comme le dit si bien France 2) et certaines scènes du livre vous feront sans doute sourire car vous connaissez un de vos amis si ce n’est vous même  qui s’est déjà trouvé dans ce cas de figure. Bref la série qui a déjà deux tomes disponibles en France et un très prochainement ce mois si, ne laisse présager que du bon.

Un jeu vidéo développé par Ubisoft Montréal (on reste dans la thématique canadienne) est aussi sorti, mais n’y ayant pas encore joué, je ne peux pas trop en dire plus que  ces quelques infos. C’est apparemment un hommage aux jeux old school avec de la musique 8 bits chiptunes et un gameplay façon « Street of rage » (beat’em all donc).

Scott Pilgrim vs. the World, the Video Game

Allé Scott tu vas y arriver!!!





Le Monde du Jeu 2010

6 09 2010
Monde du Jeu

L’entrée du Monde du Jeu

Cette année je suis allé au Monde du Jeu et grâce à ma contribution à l’aventure « roliste.tv » j’ai pu acquérir un pass presse pour cette évènement. On m’en avait dit beaucoup de bien de par le passé et je dois dire que je n’ai pas été déçu. Tout le monde était très sympathique, de nombreux stands proposaient des initiations à leurs jeux et j’ai ainsi pu tester quelques jeux entre les interviews pour roliste tv. J’ai donc décidé de braver la foule du samedi, jour traditionnellement le plus chargé dans les conventions pour aller à cet évènement. On m’avait dit que c’était plutôt calme du côté « Monde du Jeu » et que l’ambiance était moins boum boum techno que celle du Festival du Jeu vidéo. Je dois dire que je pense que cette année a été un peu la surprise pour tout le monde puisque les allés du Monde du Jeu étaient pleines de passants alors que l’on pouvait pas vraiment en dire autant  pour son acolyte le Festival du Jeu vidéo. Il faut dire que pour y avoir fait un petit tour, le côté jeu vidéo, bien que ce soit l’une de mes passions, ne m’attirait pas franchement. On n’avait pas l’impression qu’il y est de stands de constructeurs comme Sony, Nintendo ou Microsoft (alors qu’il y aurait pu avoir des stands pour présenter Kinect ou le playstaion move).  Pire encore on y trouvait encore moins de stands d’éditeurs de jeux (Capcom, Square Enix, EA…). Il y avait tout de même quelques concepteurs de jeu indépendant présents (dont voici l’un des projets qui a attiré mon attention) qui montraient leurs créations et à qui on pouvait poser des questions sur leur travail.

Winamax

le stand de notre Patrick national Winamax

Tout une partie du Salon « jeux vidéos » était dédié aussi aux tournois sportifs (pas mal de Counter Strike et de Star Craft donc) mais je dois dire qu’après avoir vu ça deux minutes j’étais personnellement un peu lassé malgré la voix enflammée du commentateur.  Il y avait aussi un côté consacré aux écoles spécialisés dans le jeu vidéo, que ce soit pour la conception ou pour tout autre emploi relié à ce média. On pouvait noter l’apparition de pas moins de trois stands de poker sur le salon ou l’on pouvait s’essayer au jeu de carte du moment.

blazeblue

Dessin pour le character design d’un personnage de « Blazeblue: Calamity Trigger ».

Il n’y avait gère que le stand du musée du jeu vidéo, celui de la FNAC ou l’on pouvait tester certains jeux et une exposition montrant des dessins préparatoires de Blazeblue entre autres qui donnait un peu envie de s’attarder dans la partie jeu vidéo de la convention. Toutefois, il n’ en était pas de même du côté du Monde du Jeu ou les allés se sont vite retrouvés pleines de monde.

Les grands éditeurs de jeux de sociétés étaient évidemment présents à l’appel, on ne pouvait évidemment pas louper les énormes stand de de Edge et d’Asmodée qui faisait testé leurs jeux avec à chaque fois un animateur non loin qui vous expliquait les règles de chaque jeu si jamais vous ne les connaissiez pas. Mais il n’y avait pas que les jeux de société qui étaient présent, les jeux de rôles étaient biens présents et la aussi, on avait un grand nombre d’éditeurs, de distributeurs et d’associatifs qui proposaient dédicaces, sorties de jeux en avant première ainsi que des parties tests.  C’est sur le stand du GROG que Taybott a pu tester le nouveau et énigmatique je de rôle « Z Corp » ou l’on essaye de survivre à une horde de zombies.  Outre les stands, on a pu en savoir un peu plus sur les sorties à venir chez John Doe et XII Singes qui, il faut le dire ne ménagent pas leur peine pour nous offrir des nouveautés. On notera une présence bien marqué du jeu « Les Ombres d’Esteren » puisqu’il était au stand du distributeur iello, à celui de l’association Forgesonges mais aussi à son propre stand ou l’on pouvait se faire dédicacer son ouvrage par les nombreux contributeurs de la bête. On doit avouer qu’il y avait une ambiance de franche rigolade et que l’on se prêtait joyeusement au jeu de « testeur » des nombreux petits instants ludiques proposés. La recette a fait mouche en tout cas puisque les tables de test ne désemplissaient pas le moins du monde jusqu’à la fin du salon. On peut dire que le Samedi au Monde du Jeu a été un véritable succès et que l’on voit que le marché du jeu de rôle et du jeu de société a encore de beaux jours devant lui.

Asmodée

Le stand d’Asmodée le démon du jeu

Pour ce qui est de ma propre expérience du salon, je peux dire que l’essai du jeu « Lemings Mafia » a attiré mon attention, un petit jeu de plateau qui était compétitif et à la fois coopératif (je sais, vous allez me dire, comment c’est possible) ou l’on devait essayer de s’échapper d’une ville ou l’on est poursuivi par la pègre locale. Afin d’avoir un maximum de points à la fin de la partie par le biais de missions, il faut se faire aider des autres, on a donc tout intérêt à travailler de paire avec les autres joueurs. Sinon pour mes petits achats, je n’ai pas pu résister à l’appel du livre de la nouvelle campagne pour BIA qui était disponible sur le stand des XII Singes et comme j’aime bien cet éditeur je lui ai pris des petits jeux de cartes histoire de voir ce que donnait cette part de la gamme. Enfin, mon petit côté Warhammer est ressortit puisque j’ai fait l’acquisition du jeu de carte « Space Hulk » qui prend part dans le  même vaisseau que le jeu de plateau éponyme. Edge ne proposait toutefois pas que ce jeu de carte et avait de nombreux jeux en démo que je n’ai pas pu tester. Par contre une petite déception sur ce même stand puisque que la Légende des cinq anneaux (L5R pour les intimes) n’était malheureusement pas disponible, il n’y avait que le jeu de rôle du trône de fer de disponible sur le stand.

Edge

Jilsar et Coco testent le jeu de carte « Space Hulk »

Enfin, Pass Presse oblige, la petite équipe de roliste tv a du tout de même faire un peu de boulot sur place. J’ai personnellement fait trois interview (XII Singes, John Doe et les créateurs de Tenga) mais avec Penpen et Taybott nous avons pas moins de 11 interviews (Black Book Editions, Guide du Roliste Galactique, La Bible du Meneur, Achéron, Cats, Forgesonges, Mahamot et bien sur Metal Adventure Man) ainsi que des conférences de la FFJDR qui ont été enregistrés tout au long de la convention. Même si, il faut l’avouer, on faisait un peu amateur dans le coin presse, on a tout eu beaucoup de fun à tourner tout ses petites vidéos. A la clef quelques exclusivités sur les nouveautés à venir. Enfin je vous parlerais sans doute de toute cela prochainement quand ce sera en ligne.





First Stage!

6 09 2010

Après avoir créé un blog de « chercheur », je me suis dit que ce serait bien que j’en fasse un pour donner mes impressions sur ce qui me passionne, autant dire des trucs de geek, mais pas que. Je parlerais donc d’un peu del tout, que ce soit de la lecture, du jeu ou ce qui passe sur un écran.

Flower

Flower un petit jeu téléchargeable sur la PS3 qui est une vraie merveille.

Comme ce post est un peu vide je me suis dit que j’allais mettre une petite image de « Flower« , un jeu PSN que j’ai vraiment adoré et auquel je rejoue de temps en temps même si je l’ai terminé et que j’ai quasiment tout les trophées. Je ferrais sans doute un post plus tard pour vous parler de ce super jeu 😉

Pour ce qui est du reste, on se dit donc à bientôt dans le prochain niveau pour de folles aventures!!!